En 1922 Régis Eyraud avait été élu au conseil syndical de l’USM-CGTU de Saint-Étienne dont à partir de novembre il était le secrétaire adjoint. Il collaborait à cette époque au Libertaire quotidien.
Membre du groupe des Jeunesses anarchistes, il avait été arrêté en août 1925, avec Poinard et Morel pour apposition d’affiches de l’UA contre la guerre du Maroc.
En 1926, R. Eyraud était secrétaire adjoint du groupe anarchiste-communiste de Saint-Étienne dont les statuts avaient été déposés le 31 décembre 1925 et dont Antoine Salis était le secrétaire général. En mars 1927 il était toujours le secrétaire adjoint du conseil d’administration du groupe formé alors de Francis Poinard (secrétaire), Eugène Soulier (trésorier), André Garnier (trésorier adjoint), Marcel Morel (archiviste), Antoine Salis (organisateur artistique) et Pierre Dubouchet.