Antonio Lopez Espejo, qui milita peut être à Santa Coloma de Gramenet (Barcelone) et était passé en France lors de la Retirada, avait été affecté dans une Compagnie de travailleurs étrangers au barrage de l’Aigle (Cantal). En 1944 il était l’un des 75 membres de la Compagnie espagnole (voir Juan Montoliu del Campo) du Bataillon Didier (FFI) qui participé à la libération de la région.
Il pourrait avoir un lien de parenté avec Francisco Lopez Espejo, militant de la CNT, qui après le coup d’État franquiste de juillet 18936, était membre du Comité révolutionnaire de Palma del Rio (Cordoba).