La police signalait le 25 décembre 1886 qu’Antoine Auzol était le correspondant à Boudes (Puy-de-Dôme) de l’hebdomadaire communiste-anarchiste belge Ni dieu ni maître (Bruxelles, 1885-1886) qui avait été interdit de circulation en France et qu’il était abonné au Cri du peuple de Jules Vallés.
AUZOL, Antoine
Boudes (Puy-de-Dôme)