Exilé en France, Enrique Ruiz militait à la Libération à la FL-FIJL du quartier de Saint-Henri à Marseille. En avril 1945 il fut, avec Pepita Carpena, Lucio Gomez Arnaiz et Antonio España, l’un des délégués de Marseille au congrès tenu par la FIJL à Toulouse. Il demeurait alors 17 Impasse Emertaire à Saint-Louis.
Après la scission de l’automne 1945, il fut secrétaire pour la région de Murcie de la commission de relations de la CNT du Levant en exil, de tendance orthodoxe, aux cotés d’Antonio Alorda, Luis Perez, José Moreno, Alfonso Velez, Lola Serrano, Vicente Gil, Salvador Blasco et Jesus Vicente.
En 1947 il fut le délégué de la FL de Saint-Henri au congrès de la CNT tenu à Toulouse. Cette même année 1947 il était avec José Mompean, responsable du Comité de relations de la CNT de Murcie en exil.
Il fut également délégué de Provence au plenum intercontinental de 1951.
Il y a vraisemblablement indenté avec Enrique Ruiz Sanchez qui, lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, était membre du comité révolutionnaire de Murcie, puis en 1937 avait été l’un des représentants de la CNT dans les jurys populaires et qui, lors du congrès régional du Levant en juillet 1937, avait été pour la province Murcie membre de la commission sur le thème de “La CNT, la guerre et la révolution”…