Pendant la guerre civile, José Arenas Senar, militantde la FAI et de la CNT, avait été lieuttenantdansdesbrigades d’infanterie.
Exilé en France lors de la Retirada, José Atolas fut interné àArgelès enrôlé dans une Compagnie de travailleurs étrangers à Tulle (Corrèze) oùil pavintà voler de nombreux sauf-ondits permettant aux compagnonsde circuler librement.Puis il fut envoyéSaint-Genis les Fontaines (Pyrénées-Orientales), Saint-Flour puis Mauriac (Cantal) au barrage de l’Aigle Il s’y i intégrait augroupe de Résistance organisé par l’ingénieur André Decelle et l’important noyau de la CNT (voir José Berruezo).Arrêté en 1943, il fut interné au camp du Vernet jusqu’à sa libération en 1944 où il intégra le maquis de Seers (Orne).
Installé dans l’Orne, il fut le délégué d’Alençon et et de Bagloles au congrès tenu en 1947 à Toulouse par le MLE-CNT. Dans les années 1950, il était à Paris et était membre du même groupe spécifique Nervio que Juan Ferrer, Juan Jiménez, Diego Camacho et Ildefonso Gonzalez. Il était également membre du groupe artistique Mosaicos Españoles. Á la fin des années 1960 il était membre de la FL-CNT de Drancy et de la Fédération Nationale de l’industrie ferroviaire (FNIF) de la CNT en exil.
En 1969 il demeurait 16bis rue Gabrielle (Paris 18e) et était l’un des correspondants et diffuseurs de Tierra y Libertad (Mexico).
Depuis la Libération José Arolas Senar avait été également l’un des cénétistesmembre de l’OFPRA (Office français des réfugiés et apatrides) où il sera nommé en 1952 Officier de préservationposte qu’il exercera jusqu’en saretraite en 1973.