Né dans une famille ouvrière Attilio Silvestrelli n’avait pû poirsuivre des études et avait dû commencer à travailer très jeune. Suite à la lrcture de journaux anarchistes il avait comencé à militer à Ancône en 1912 dès la fin de son adolescence, avait participé en 1914 à la « semaine rouge ». En 1920 il participait au mouvement révolutionnaire contre la guerre en Albanie, participant pendant deux jours et deux nuits aux afrontements sur les barricades avant d’être arrêté. Il ne passera en jugement qu’après une longue peine de préventive de 13 mois de prison au cours de laquelle sa santé s’était altérée. Après la prise du pouvoir par les fascistes en 1922 il refusa d’émigrer. et continua de participer à la difusion clandestine de la propagande anarchiste.
En 1926 le régime fasciste réouvrait le procès d’Ancone et l’arrêtait, l’accusant du meurtre d’un responsable fasciste. Parallèlement la presse anarchiste italienne exilée en France (Lotta Anarchica, Trempa, Monito) commençait une campagne de soutien. Bien qu’innocent du meurte dont il était accusé, il fut t condamné à Aquila à 20 ans de prison. Lors de ce procès il avait croisé le companon Alfonso Petrini également porsuivi.En 1930 il était gravement malade à la prison d’Alessandria. Il fut remis en liberté en 1939 après 13 ans de détention.
Revenu à Ancône, il continuait d’y prodesser ses idéaux anarchistes. Après la chute du fascisme en septembre 1943 il s’atait intégré à la Résistance et à la Libération s’intégrait au groupe Berneri de la FAI où il fut l’un des responsables de la diffusion de la presse et de la récolte de fonds.
Attilio Silvestrelli est décédé à l’été 1960 à Ancône où om a été enterré civilement.