Militante à Hospitalet (Barcelone) depuis sa jeunesse, Violeta Paz s’était exilée en France après la guerre civile. Elle a collaboré à plusieurs titres de la presse libertaire de l’exil et notamment à l’hebdomadaire Cenit. Elle habitait Saint-Estève (Pyrénées-Orientales), était membre de la CNT en exil et de L’Ateneo Luisa Michel de la région perpignannaise. Violeta Paz est décédée le 7 août 2003.
PAZ, Violeta
morte le 7 août 2003 — MLE — CNT — Barcelone (Catalogne) — Saint-Esteve (Pyrénées-Orientales)