Émile Koch fut le gérant de l’organe La Voce del Profugo (Paris, 8 numéros du 9 juin 1923 au 12 janvier 1924) publié par les compagnons italiens exilés et dont le directeur était Alberto Meschi… Il collaborait à cette époque au Libertaire.
Il y a sans doute identité avec Koch, délégué du syndicat du bâtiment de Beauvais au congrès de juillet 1923 de la Fédération du bâtiment CGTU, qui signa contre le Parti communiste la motion Couture affirmant son attachement à la Charte d’Amiens.
Il ya peut être identité avec Koch (ou Kock) qui à l’été 1926 il était le secrétaire du syndicat unique du bâtiment (SUB) de Lyon qui venait de se former, membre de l’union départementale des syndicats autonomes et qui fut élu en novembre à la Commission administrative de la CGTSR aux cotés de Charrent, Allegre et Bonnefond. En juin 1926 il avait été arrêté et poursuivi pour “entrave à la liberté du travail” suite à un mouvement de grève au printemps
Il y a aussi un Édouard Kock qui en 1924 était le secrétaire de la 13e région fédérale du bâtiment.