Militant des jeunesses libertaires (FIJL), de la CNT et de la FAI, José Martin Hormigo s’était exilé en France après la guerre civile. Pendant l’occupation il avait été arrêté par les Allemands et envoyé travailler en 1941 à la base sous-marine de la Pallice où il participait à la reconstruction clandestine de la CNT en exil. Après la libération, il a milité à la FL-CNT de La Rochelle dont il a été à plusieurs reprises le secrétaire. Il a été également le responsable du Comité de relations du noyau Charente-Poitou de la CNT en exil.
José Martin Hormigo est mort à l’hôpital de Pessac (Gironde) le 8 janvier 1973 et a été inhumé au cimetière de la Rossignolette à La Rochelle.