Le 26 juillet 1869 Louis Verhilhon avait été condamné par la cour d’assises de la Drôme à 5 ans de réclusion et 100 francs d’amende pour « complicité de fabrication et émission de fausse monnaie », peine commuée en 1 an d’emprisonnement. Il avait été réhabilité par la cour d’appel de Grenoble début juin 1888.
Au début des années 1890 était le gérant d’une épicerie à Crest où il était fiché comme anarchiste et avait, selon la police, « une certaine notoriété chez les ouvriers de la localité.
Au début 1900 il était signalé disparu de la région.