Georges Jacob était le fils de Charles Joseph Jacob, boucher, et d’Agathe Octavie Crindart. En 1893 était brocanteur à Saint-Denis où il demeurait rue du Moulin. Il avait été fiché en février 1894. Il s’agit sans doute du Jacob, qui le 1er janvier 1894, après une perquisition à son domicile 20 rue Boulangerie à Saint-Denis, où la police n’avait trouvé que quelques brochures et chansons, avait été laissé libre avant d’être arrêté le 28 février suivant après que la police ait saisi chez lui divers pamphlets et journaux anarchistes. Incarcéré le 5 mars 1894 il ne fut remis en liberté que le 31 décembre 1894.
Il fut radié des listes d’anarchistes le 20 novembre 1895.