Amancio Fernandez avait été volontaire en Espagne de décembre 1936 à mai 1937. Puis il était revenu en France où à Aubervilliers il était, selon la police un « membre influent de la Fédération des comités espagnols d’action antifasciste ». Il résidait 29 rue Ferragus où, lors de la Retirada de 1939 il aurait hébergé plusieurs compagnons. Il aurait été à cette époque l’un des hommes de confiance du compagnon Luis Ibarrola.
Dans une note datée du 3 octobre 1939, la police, ne reculant devant aucune infamie, l’accusait comme à d’autres compagnons espagnols (dont Aurelio Fernandez Sanchez) d’avoir été en Espagne « en relations suivies avec des agents de la Gestapo ».
Il pourrait s’agir du A. Fernandez qui en 1949 résidait àAubervilliers et était le resoonsable du comité de relations de l’industrie gastonomique CNT ene exil