Exilé en Algérie (sans doute après la guerre civile), Oliverio Fernandez habitait en 1946 à Oran d’abord au quartier La Marine (6 rue de l’Arsenal) puis au quartier Gambetta (27 rue Dauphin) et était le secrétaire de la Fédération locale de la Fédération Ibérique des Jeunesses Libertaires (FIJL). Le 19 juillet 1947 il avait été l’un des organisateurs d’une exposition d’œuvres d’art et d’artisanat dont le produit de la vente était destinée à l’aide aux compagnons en Espagne. L’année suivante il était nommé secrétaire de relations du Comité continental de la FIJL d’Afrique du Nord dont les autres membres étaient Conrado Lizcano (secrétaire), José Manzanares (propagande) et Francisco Climent (administration).
Il était plus tard parti (sans doute lors de la guerre d’Algérie) en métropole où en 1961, il était à Toulouse (Haute-Garonne) le responsable du groupe artistique libertaire Terra Lliure.