Danger (ou Dangers) avait été signalé en 1886 dans les réunions du groupe L’avant-garde. L’année suivante il participait aux réunions du groupe Les Travailleurs communistes libertaires du XXe arrondissement qui se réunissait rue Henri Chevreau. A l’été 1887 il avait semble-t-il fondé un nouveau groupe.
Siganlé dans les réunions en 1888 notamme t du groupe L’avant-garde cosmopolite ilétait alors membre du groupe des indépendants du XXe arrondissement dont semblaient également faire partie Chalain, Voghera et Rovigo. Lors de l’une de ces réunions, à la mi janvier 1888, il avait constaté que les divisions des diverses écoles du socialisme provenanient toutes de la question électorale et que les vrais révolutionnaires devaient s’entendre et laisser de coté ces ambitions inutiles ; il avait également dénoncé les possibilistes, préoccupés presque exclusivement de gagner des sièges, et accusés d’être devenus de véritables bourgeois et d’avoir trahi la cause de la révolution.
Le 23 octobre 1892, avec une quarantaine de compagnons — dont Pichon, Guillot, Charbot, Rigollet, Bruneau, Guilmard, Quince, Porret et Baudelot — il était allé perturber un meeting boulangiste tenu salle Favié
Il était malade en 1899 et des quetes étaient faites à son profit lors de réunions.