Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

GIANSANTI, Renato Roco “Mario FORTI” ; “Tomás SORIA” ; “Mario FORTUNATI” ; “M. FORTE” “FORT”

Né en Italie — mort en 1982 — Tucuman & Cordoba (Argentine) — Bolivie
Article mis en ligne le 28 septembre 2019
dernière modification le 9 août 2024

par R.D.

Renato Giasanti dit Mario Forti, père du compagnon Liber Forti (voir ce nom) avait émigré en Argentine où en 1918 il collaborait à La Revuelta (Santa Fé, 15 numéros, 1918-novembre 1919) puis dan les année qui suivirent à la deuxième époque de La Obra (Buenos Aires, 28 numéros du 20 mai 1917 au 28 janvier 1919) de Teodoro Antilli et Rodolfo Gonzalez Pacheco.

Installé à Tucuman, il était membre du groupe anarchiste Brazo y cerebro qui publiait le journal Adelante (Tucuman, 19 numéros, 1922-1927) Dans cette même province, il participa plus tard à l’Agrupación cultural anarquista et, sous le nom de Tomas Soria, fut l’administrateur du périodique Agitacion (1936).

Ultérieurement il fut membre du groupe Ideario de Cordoba puis du groupe La Antorcha en Bolivie.

Dans les années 1940 il collabora à Ideario (Buenos Aires, 1945-1946) et à Nosotros (Buenos Aires, 1942-1943).

Dans les année 1970 il collaborait à Libertad sindical (Buenos Aires, au moins 2 numéros en 1970) organe du Comité national pour la liberté syndicale lié à la FORA.

Renato Giansanto est décédé à Tucuman en 1982.


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