Émigré à Barcelone dès son enfance, Joaquin Anton Alvarez travaillait comme ouvrier du textile et militait à la CNT. En juillet 1936 il participait aux combats de rues dans le quartier de Clot avant de partir au front.

Exilé en France lors de la Retirada, il était interné dans divers camps et compagnies de travailleurs. Il s’était ensuite établi avec sa compagne Lola à Fumel (Lot-et-Garonne) où il militait à la CNT en exil et à la section locale de la Solidarité internationale antifasciste (SIA).

Après la mort de Franco et en retraite il allait chaque année à Santader et participait à la reconstruction de la CNT.

Joaquin Anton Alvarez est mort à Santander le 22 juillet 1980.