Sans doute originaire de la province de Murcie et passé en France lors de la Retirada, Juan Roman Morales avait été affecté à un groupe de travailleurs étrangers au barrage de l’Aigle (Cantal) où il fit partie du noyau clandestin de la CNT. En 1944 il était membre de la compagnie de 75 compagnons espagnols intégrés au Bataillon Didier des FFI (voir Juan Montoliu del Campo).
ROMAN MORALES, Juan
CNT — Espagne — Cantal