Jean Trescos militait au début des années 1890 à Casteljaloux avec entre autres ses frères, Louis (31 ans) et Pierre (38 ans) tous deux également cordonniers, Beaujardin, Labadie et Ferrand. La police le considérait comme un « ivrogne et coureur de cabarets ne jouissant d’aucune influence » et séparé de sa femme. En 1893 ses frères, qui s’étaient mariés à deux sœurs institutrices à l’école maternelle, auraient cessé de militer.
TRESCOS, Jean
Né vers 1859 — Cordonnier — Casteljaloux (Lot-et-Garonne)