José Becos avait émigré encore très jeune à Vic (Barcelone) où il adhérait à la CNT. Exilé en France lors de la Retirada, il avait été interné en camps puis sous l’occupation avait été réquisitionné au titre du Service du Travail Obligatoire pour aller travailler à la construction des fortifications allemandes. Après la libération il continuait de militer au MLE-CNT ainsi qu’à la Solidarité Internationale Antifasciste (SIA) jusqu’à son décès survenu dans une maison de retraite d’Albi (Tarn) le 2 août 1992.
Né à Alberuela de la Sierra (Huesca) en 1901 — mort le 2 août 1992
BESCOS, José
MLE — SIA — CNT — Vic (Barcelone) — Albi (Tarn)