Dès le coup d’État franquiste de juillet 1936, José Rey Piro avait participé à la défense de Santander. Exilé en France José Rey avait été nommé en 1946 au Comité de relations de la régionale nord de la CNT avec Santiago Pérez (Montaña), Antonio Navarrete (Alava), Satiago Artiago (Vizcaye) et Casimiro Pérez (Guipuzcoa). Début 1948 il était le secrétaire de la Comarcale Montañesa de la régionale nord en exil. Il résidait alors à Saint-Martin de Touch (Haute-Garonne).
José Rey Piro est décédé à Toulouse le 21 février 1948 dans un accident de travail. La Comarcale avait ouvert une souscription en faveur de sa veuve.