José Ferrater Año, fils du journalier José Ferrater Oller et de Teresa Año Cortés, avait commencé à travailler très jeune dans l’industrie du verre à Mataro où il côtoya Juan Peiro au syndicat CNT et à la collectivité des ouvriers verriers. Suite à son militantisme, il dut parcourir diverses régions d’Espagne — Séville, Valence, Barcelone — toujours comme ouvrier verrier. Pendant la dictature de Primo de Rivera, il dut passer en France où à Paris il épousa une militante française,.Marguerite Louise Laversin
Revenu à Mataro en 1932, il reprit son travail à la collectivité des verriers Pendant la guerre il fut l’objet de persécutions par le secteur républicain anti-collectiviste. Passé en France lors de la Retirada, il fut interné dans divers camps puis s’installa ultérieurement à Givors où à la Libération il s’intégra à la FL-CNT où il occupera divers postes de responsabilité.
José Ferrater est décédé à Givors le 1er décembre 1968.
Son frère Jaime Ferrater Año était également militant de la CNT et ouvier verrier.