Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

CLIMENT, Floreal

Né vers 1947 à Oran — mort en janvier 1964 — FIJL — Oran (Algérie)
Article mis en ligne le 20 mars 2014
dernière modification le 13 juillet 2024

par ps

Floréal Climent était l’un des fils du compagnon Francisco Germinal Climent réfugié en Algérie. Dès l’âge de 12 ans il avait commencé à distribuer la propagande du mouvement libertaire espagnol dans les quartiers populaires d’Oran, tâche qu’il mena jusqu’en 1962 où les menaces de l’OAS empêchèrent alors les compagnons de faire toute propagande. Floréal Climent, qui était élève au Centre d’enseignement technique, décédait peu après en janvier 1964 à l’âge de 17 ans.


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