Émigré depuis l’enfance à Suria (Barcelone), Manuel Torres y adhéra très jeune au mouvement libertaire. Passé en France lors de la Retirada, il y y fut à la Libération l’un des organisateurs de la CNT et des jeunesses libertaires (FIJL) à Fumel (Lot-et-Garonne). En 1947 il fut l’un des délégués de Fumel au congrès tenu par le MLE-CNT à Toulouse.
Au moment de son décès survenu fin 1996 dans un hôpital d’Auch (Gers), Manuel Torres, qui résidait à Villeneuve-sur-Lot, était le secrétaire du Comité comarcal du Lot-et-Garonne de la CNT en exil.