Erofilo Labrador était emprisonné à Barcelone au début des années 1920. Il s’exila ensuite d’abord à Paris d’où en 1928 il collaborait à Accion social obrera (Gerona) et à Despertad (Vigo), puis à Bruxelles où en 1929 il fonda avec Erguido Blanco le journal la Voz proletaria. Revenu en Espagne lors de la proclamation de la République, il fut membre en 1932 de la rédaction de Solidaridad obrera (Barcelone) et du Comité régional de Catalogne de la CNT pour lequel il assura des tâches de coordination dans diverses localités catalanes.
Il y a peut être identité ou confusion avec Teofilo Labrador (voir ce nom).