Fils d’un gendarme, Henri Raynaud avait travaillé comme ouvrier confiseur lors de l’Exposition à Paris. Puis il avait été ouvrier vannier. Revenu à Nîmes en octobre 1898, il demeurait 11 rue de Turenne et fréquentait les milieux anarchistes. Puis il prit la gérance d’une épicerie et cessa tout militantisme. Il fut rayé à sa demande des États anarchistes du départment en février 1899.
Son frère André avait également milité dans les groupes libertaires du Gard en 1894-1895.