Employé de commerce à Paris et répertorié comme anarchiste, Pierre Perrier avait été condamné entre juillet 1889 et novembre 1898 à 15 peines n’excédant pas un mois de prison pour « vagabondage » à Paris, Bordeaux, Le Mans, Montpellier, Alès, Carcassonne, etc.
Il y a sans doute identité avec Pierre Perrier, fiché au début des années 1900 à l’état vert n°1, n°2, n°3 puis n°4 des anarchistes disparus et/ou nomades et qui fut radié des contrôles en juin 1911.