Epouse en seconde noce du militant lyonnais Louis Palix, elle était, comme lui membre de l’ Association internationale des travailleurs (AIT). En avril 1870, avec beaucoup d’autres femmes dont Virginie Barbet, elle fut la signataire d’une adresse de caractère révolutionnaire et socialiste aux femmes des grèvistes du Creusot. Selon la police elle était la mère de Narcisse Barbet, également militant de l’AIT de Lyon, mais qui en fait avait été adopté par le couple.
PALIX (épouse)
Accoucheuse — AIT — Lyon (Rhône)