Après la guerre Santos Leon qui était un vieux militant libertaire de Jimena de la Frontera (Cadix) était parveni à se réfugier en Algérie. Il était membre de la FL-CNT de Maison Carrée (El Harrach) avec son fils Juan Leon Cruces, militant de la FIJL.
LEON, Santos
MLE — CNT — Jimena de la Frontera (Cadix) — Andalousie — Maison Carrée (Algérie)