Au début des années 1910 Benoit Alzon demeurait 33 rue des Champarrons à Colombes. Membre du groupe anarchiste d’Asnières, il était un collaborateur de L’Anarchie.
En mars 1916 il se trouvait au 1er bataillon d’infanterie légère d’Afrique à El Aioum (Maroc).
Benoit Alzon figurait en 1923 sur une liste établie par la police recensant « les anarchistes disparus du département de la Seine et recherchés ».