Gaston Crepet, qui avait bénéficié d’une bonne éducation, était parti du domicile familiale en octobre 1895 afin, selon la police, « de pouvoir vivre selon sa fantaisie, c’est-à-dire en paresseux et en vagabond ». Il serait devenu anarchiste par la fréquentation du compagnon Sadrin. Fin 1897 il serait revenu dans sa famille et n’avait pus donner lieu à aucune remarque du point de vue anarchiste. Puis il avait été soldat dans un régiment d’infanterie à Chalons sur Marne (1899).
Il aurait par la suite émigré aux États-Unis à Lodi (New Jersey).
Un Victor Gaston Crepet figurait sur l’État des anarchistes disparus et/ou nomades : s’agit il du même ?