Pierre Boissié avait été fiché au début des années 1900. Il aurait écrit des articles dans Le Libertaire et demeura rue Vercingétorix, puis rue Cauchois
Il pourrait s’agir du Pierre Boissié, (dit Paul Eng ?) auteur de divers poèmes révolutionnaires (dont « Aux travaillleurs », « Les Gueux sont lâchés », « Les corbeaux en fuite », « La Chanson des ventres », « Chanson de paix ») et qui en avril 1903 avait remplacé Auguste Philippe à la gérance du Libertaire. A la mi octobre 1903 il fut remplacé à ce poste par Louis Grandidier.