Fiché comme « dangereux » au début des années 1890. Dominique Valery travaillait à l’atelier de garniture de l’Arsenal de Toulon où il demeurait en 1894 au 3 rue des marchands. Puis il demeura, rue des Riaux, rue Denfert-Rochereau, 18 rue Nationale, puis à partir d’avril 1900 au n°57 de la même rue.
Le 29 août 1894 il avait été l’objet d’une perquisition au cours de laquelle avaient été saisies diverses correspondances anarchistes de l’étranger et de France. Il fut mis sous surveillance mais ne fut l’objet d’aucune remarque défavorable et s’abstenait de fréquenter les réunions anarchistes.
En avril 1903 le commissaire spécial de Toulon sollicitait sa radiation des listes d’anarchistes après qu’il se soit « distingué lors de la catastrophe du “Liban” », radiation qui fut effective en octobre 1903.