Le 31 mars 1890 Constantin Portigliotti, fils de Carlo et de Catarina Gigo, après une condamnation par la Cour d’assises de Haute-Savoie à 2 ans de prison et 100 francs d’amende pour fabrication de fausse monnaie, avait été l’objet comme « anarchiste dangereux » d’un arrêté d’expulsion de France et s’était réfugié à Genève.
Il était marié à Eugenia Repluma et travaillait comme maçon. Il se trouvait toujours à Genève en décembre 19022 et figurait sur l’État signalétique des anarchistes étrangers expulsés de France, n°25, décembre 1903