Le 1er janvier 1894, comme une trentaine de compagnons de la région et suite à l’attentat de Vaillant, Charles Fourdrin avait été l’objet d’une perquisition où la police avait saisi notamment une lettre d’un relégué en Nouvelle-Calédonie.
FOURDRIN, Charles, Simon
Feuquières (Somme)