Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

PERRICHON, Guillaume, Joseph, Marie

Néronde (Loire)
Article mis en ligne le 17 juin 2024
dernière modification le 7 janvier 2025

par R.D.

Le 21 juillet 1894 Guillaume Perrichon — qui était sans doute un parent du mineur Jean Marius Perrichon (voir ce nom) — avait été condamné à 6 mois de prison pour s’être réjoui de l’assassinat du Président Carnot ce qui lui valut d’être fiché comme « anarchiste dangereux ». Les 21 et 22 juillet 1895 il fut arrêté à Néronde après avoir, semble-t-il en état d’ébriété, à plusieurs reprises crié dans la rue « Vive l’anarchie ! » et « J’emmerde tous les députés ». Il était à cette époque sans travail. Le 12 septembre 1895 avait été condamné à 6 jours d’emprisonnement pour « cris séditieux » par la cour d’assises de la Loire.


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