Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

DROUIN, Claudine

Née à Montceau-les-Mines le 1er décembre 1899 — morte le 25 juin 1977 — Comptable — CGT — Paris
Article mis en ligne le 8 janvier 2024
dernière modification le 12 juillet 2024

par Dominique Petit, R.D.

En 1911, Claudine Drouin demeurait chez ses parents à Montreuil (Seine-Saint-Denis)

Le 18 juillet 1919, à l’assemblée générale des Jeunesses syndicalistes de la Seine, 18 rue de Cambronne, Bellugue faisait vérifier les comptes à la commission du Cri des jeunes, Claudine Drouin était nommée trésorière. Militante syndicaliste révolutionnaire elle était proche des anarchistes.

Le 14 septembre 1919, au 3e congrès des Jeunesses syndicalistes tenu rue de la Grange aux Belles, elle faisait connaître la situation du journal qui venait de reparaître et annonçait que pour lui venir en aide, une fête serait organisée le 20 septembre.

Le 24 septembre et le 2 octobre 1919, elle envoyait Le Cri des jeunes aux journaux Les Humbles et La Mêlée, en leur demandant de souscrire au journal.

En 1926, elle demeurait dans le 20e arrondissement de Paris, elle exerçait le métier de comptable.

Le 19 décembre 1940, elle se mariait à Paris (8e arrondissement) avec Ritouet Jacques Henri, Georges, avocat.

Claudine Drouin est décédée à Paris le 25 juin 1977.


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