
En 1887, Léon Rouif demeurait aux Grésillons à Genevilliers (Seine-Saint-Denis).
Le 12 avril 1888, il était condamné à 6 jours de prison, pour coups et blessures volontaires.
A partir du 12 novembre 1888, il effectuait son service militaire au 29e régiment d’infanterie, puis à la 8e section de commis et ouvriers. Il était libéré le 16 octobre 1891, avec un certificat de bonne conduite.
En février 1893 (ou 1894 ?) son domicile, route d’Aubervilliers à Saint-Denis avait été perquisitionné.
Le 1er mars 1894, son domicile 6 rue du Fort-de-l’Est à Saint-Denis était perquisitionné. La police trouvait chez lui un grand nombre de journaux anarchistes et quelques lettres intéressantes.
Il fut remis en libéré le 6 mars 1894.
Rouif figurait sur une liste d’anarchistes de Saint-Denis au 28 mars 1894 et sur l’état récapitulatif des anarchistes au 31 décembre 1894, il habitait 1 rue du Canal à Saint-Denis.
Le 9 décembre 1896, il demeurait 56 rue Saint-Denis à Gennevilliers.
A partir du 5 octobre 1898, il allait résider à Buenos-Aires en Argentine. Il revenait s’installer le 8 mai 1899, 18 boulevard Voltaire à Asnières (Hauts-de-Seine). Il habitait ensuite à Paris, puis à Nanterre.
Le 7 avril 1902, il était condamné à 50 fr. d’amende, pour délit de chasse.