Militant au début des années 1900, Georges Severac avait été interpelé en avril 1902 en rentrant chez lui par des agents pour « refus de circuler » et insultes, ayant crié « vous ête des étrangleurs » à l’agent qui lui serrait la gorge. Trouvé porteur d’un couteau — qualifié de poignard — et de quelques journaux libertaires, il fut transféré au dépôt et dans les jours qui suivirent licencié par son patron. Traduit en correctionnelle il fut condamné à 3 mois de prison.
SEVERAC, Georges
Paris ?