En Italie Sarmalatti avait été rédacteur au journal La Guerra sociale. En juin 1909 il était à Paris où il avait fait une conférence au groupe des Causeries populaires de la rue du Chevalier de la Barre. Il s’y était prononcé contre les caisses de grèves qui, selon lui, permettaient aux grévistes « d’attendre sagement la fin de la grève, les empêchant de se livrer à des actes de sabotage " et finissant par « leur ôter toute énergie ». Il appelait plutôt à « la solidarité des biceps ».