Jean Louis Cameza, qui habitait 6 rue Émile Zola à Brest, avait été condamné en 1921 pour « outrages à l’armée » lors de la fête nationale. Selon un rappoort de police de juin 1923, il était « très actif » et avait « La poitrine couverte de tatouages ainsi qu’une étoile et une ancre sur l’avant-bras grauche ». En janvier 1924, il était porté « disparu » et avait sans odute quitté Brest.
CAMEZA, Jean Louis
Né le 24 mars 1898 à Brest — Docker — Brest (Finistère)
Article mis en ligne le 25 août 2021
dernière modification le 8 août 2024
par Françoise Fontanelli Morel, R.D.