Le 21 avril 1886 Maurizio Porta avaut été condamné par la Cour d’assises de Turin à 3 ans de prison pour "vol qualifié", puis le 11 octobre 1889, toujours à Turin, à 2 mois pour "coups et blessures".
Suite à une condamnation le 21 avril 1892 à Saint-Étienne à 24 heures de prison pour "vagabondage", Maurizio Porta, fils de feu Nicolas et de Marie Vacca, avait été l’objet le 30 avril d’un arrêté d’expulsion de France. Il était arrivé à Genève en mai et y avait été arrêté le 20 juin avec deux autres italiens — Collicantoni, Benjamin Franco). Le 21 septembre suivant il avait été condamné à 3 ans de prison pour "contrefaçon et émission de fausse monnaie".
Fin 1894 il figurait sur l’État signalétique confidentiel des anarchistes étrangers non expulsés résidant hors de France. Il fut remis en liberté le 20 juin 1895 et devait être conduit à Chiasso pour être remis aux aitorités italiennes. Toitefois, au cours du transport il serait parvenu à s’évader aux environs de Bellonzone et n’avait pû être retrouvé. D’autres sources policières indiquait qu’il avat bien été remis aux aitotités italiennes, avant de disparaotre fin aiût de sa commune d’origine.
Il s’agit vraisemblablement du Porta qui fut arrêté le 3 novembre 1900 à Lyon (où il résidait depuis 1898), à l’occasion du voyage du présient de la République et qui fut expulsé, laissant une compagne et son bébé dans la misère. Pendant son séjopur à Lyon, son concierge et son patron avaitent été chaque semaine l’objet de la visite de policiers.