A l’automne 1893 Havez était membre du groupe de Roubaix qui avait décidé de publier un recueil de chansons libertaires sous le titre L’écho des chants libertaires. Il demeurait alors 4 rue de Babylone.
Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.
A l’automne 1893 Havez était membre du groupe de Roubaix qui avait décidé de publier un recueil de chansons libertaires sous le titre L’écho des chants libertaires. Il demeurait alors 4 rue de Babylone.