Ancien membre de la Ligue des patriotes, Jean Marie Rosier se disait anarchiste au début des années 1890. Selon la police il avait mauvaise réputation, fréquentant les femmes de mœurs légères et avait été condamné à plusieurs reprises pour « tapage ou ivresse ». Au recensement de 1891 il s’était inscrit comme « gratte cul, âgé de 100 ans et quelques années, hermaphrodite, sans patrie… ». Le 1er janvier 1894 il avait été l’objet d’une perquisition sans résultat et figurait sur une liste d’anarchistes résidant à Cannes.
ROSIER, Jean Marie
Né à Mâcon le 11 avril 1849 — Typographe — Cannes (Alpes-Maritimes)