Au début des années 1890 Georges Lotz, né en France de parents allemands, résidait à Paris 14 passage de la Reuss puis à partir de janvier 1892 au 60 rue Pixérecourt où il était toujours signalé en mars lors des rafles ayant suivies l’attentat de Ravachol.
Vers 1887 ou 1888 il aurait été condamné à 4 mois de prison et avait été l’objet d’un arrêté d’expulsion qui avait été suspendu sur l’intervention du député du Xe arrondissement, M. Faillet, et la promesse de ne plus s’occuper de poltique.
Début janvier 1896, avec notamment Denechère et Capette, il s’était occupé de trouver du travail à des compagnons maroquiniers italiens qui venaient d’arriver à Paris en provenance de Lyon.
Début 1897, il était à Londres où, selon le rapport d’un indicateur, il critiquait “les manifestations platoniques » des compagnons parisiens, se prononçant plutôt pour l’action violente. Il était notamment en contact avec le compagnon Charles Notelez de Paris auquel il envoyait des mandats pour aider à la propagande ou pour les familles de détenus.
Au début des années 1900 il était le secrétaire du cercle d’études sociales Le travail à Londres.