En 1892 Denis Lamperière était à Bourges où il était étroitement surveillé. Début 1893 il était parti à Montluçon où il allait travailler comme ouvrier auxiliaire poseur de rails du chemin de fer et où il demeurait rue de l’Espérance. Le 18 février 1894 il fut l’objet d’une perquisition qui se révéla négative. Vers le printemps ou le début de l’été 1894 il animait le groupe d’ouvriers sans travail qui avaient manifesté l’hiver précédent devant la Mairie. Il était alors qualifié comme un « anarchiste militant et remuant ».