Dictionnaire international des militants anarchistes
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Y’en a pas un sur cent… et pourtant des milliers d’hommes et de femmes de par le monde, souvent persécutés, embastillés, goulagisés et parfois au prix de leurs vies, ont poursuivi leur chevauchée anonyme à la recherche d’un impossible rêve : un monde sans dieux ni maîtres.

SALOMON, Moïse, Wotel

Né le 13 février 1897 à Galatz (Roumanie) — Chauffeur de taxi & chauffeur livreur — Roumanie — Paris
Article mis en ligne le 24 septembre 2016
dernière modification le 7 janvier 2025

par R.D.

Moïse Salomon, qui demeurait depuis 1927 au 16 rue Tholozé (XVIIIe arr.), participait à la fin des années 1920 aux conférences hebdomadaires organisées 48 rue Duhesme par le groupe anarchiste des XVIIe et XVIIIe arr. dont la secrétaire était Lucile Pelletier. Il travaillait alors comme chauffeur livreur pour une usine de Levallois.

Arrivé à Paris en 1905, il y avait épousé en juin 1924 Balmagi Braina dont il eut deux enfants (Jeanne née en avril 1925 et Bernard en juin 1929). Selon la police, il aurait en 1930 cessé de « se manifester dans les milieux extrémistes de la capitale » mais continuait d’être un lecteur du Libertaire et “de plusieurs journaux étrangers”. La police pensait que cette réserve était alors due à “l’état de santé précaure de sa femme et de ses enfants”.


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