José Landès, rédacteur au Libertaire, était en juin 1911 membre de la Fédération révolutionnaire communiste (FRC). Il assista à son assemblée plénière du 4 juin.
Franc-maçon, il soutint en septembre 1913, dans Le Libertaire, une controverse sur « anarchisme et franc-maçonnerie », déclarant que les deux étaient compatibles. Il s’y déclarait « travailleur manuel ». À la même période, il donna quelques articles à L’Avant-garde, le journal de Benoît Broutchoux à Lens (1913-1914).
En 1914, il était membre du groupe de Paris XIXe de la Fédération communiste anarchiste révolutionnaire (FCAR) qui se réunissait à La Famille Nouvelle (122 rue de Flandre) et dont le secrétaire était Émilien Baillet.
Lors de la déclaration de guerre, il fut réformé, mais se rallia à l’union sacrée. La Guerre sociale du 1er septembre 1914 publia une lettre de lui où il dénonçait « Les Huns » qui envahissaient le pays et en appelait à l’esprit de 1793 pour sauver « La patrie en danger ».