En février 1892 Étienne Mercier était membre du nouveau groupe anarchiste formé à Perrache et dont le secrétaire était Franciscque Rosset.
Comme une quarantaine d’autres compagnons à Lyon, Étienne Mercier, qui demeurait 10 rue Laurencin et travaillait chez un fabricant de pain d’épice, avait été arrêté fin avril 1892 préventivement à la manifestation du 1er mai et inculpé pour « association de malfaiteurs ». Il avait été remis en liberté dès le 2 mai.
S’agit il du Mercier dont Le Libertaire signalait au début de l’été 1904 que depuis 20 mois il était atteint de saturnisme et “dans la misère” et pour lequel Bordat et Mayrand avaient fait un appel aux dons ?