le 19 février 1891, lors du tirage au sort à Saint-Denis, avec plusieurs compagnons anarchistes François Collion avait bruyamment manifesté aux cris de “A bas la patrie ! Vive l’anarchie !”, ce qui lui valut d’être poursuivi le 23 mars suivant avec Arthur Voyez, Nestor Ferrière, Charles Galau, Michel Bastard, François Pernin et Henry Decamps. Tous furent acquittés à l’exception de Decamps condamné à 15 jours de prison.
COLLION, François
Saint-Denis