Louis Lerat, père d’un fils d’une vingtaine d’années et ancien ouvrier apprêteur qui était qualifié de « contrebandier », figurait sur la liste des anarchistes de Reims établie en mars 1892 par le Préfet. En 1891 il avait été suspecté par la police d’avoir proposé aux compagnons de la dynamite provenant de Belgique. En février 1894 il était inscrit sur une liste d’anarchistes "ayant des habitudes de déplacement".
LERAT, Louis, Eugène
Né le 15 avril 1844 - Ouvrier apprêteur ; journalier - Reims (Marne)